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broken wings
Meiko Sato ARRIVÉE : 23/08/2018 MESSAGES : 3 POUR S'OCCUPER : caissière. tapant sur son clavier comme elle taperait sur un piano. désabusée.
| Sujet: amanturière. (meiko) Jeu 23 Aoû - 10:24 | |
| meiko sato
in my blood / say you won't let go / hold on
I/ Vous faites une balade sur la plage. Qui est à vos côtés ? A. Une conquête B. Grand-mère C. Le chien D. Personne
II. Votre maison de rêve est-elle entourée d'une clôture ? Si oui, de quoi est-elle faite ? A. Il n'y en a pas. B. Oui, elle est faite de métal. C. Oui, elle est faite de bois. D. Oui, elle est faite de fer forgé.
III. On vous invite à une soirée sur la plage. Vous y aller... A. À contrecœur. B. Accompagné(e). C. Si c'est gratuit. D. Pour faire plaisir à votre petite sœur.
IV. Quel est votre mets préféré? A. Caviar B. Lasagne C. Tortillas D. Sandwich | patronyme : t'as longtemps détesté ce patronyme. parce qu’il renvoyait à tout ça. surtout à lui. au gout du sang encore sur tes lèvres. ce gout si âpre et presque trop salé. sato. un nom de famille qui pourtant se confond dans les grandes rues japonaises où il est parti. ton père. tachant à présent chaque carreau du métro. presque malgré lui. bien loin de ton prénom. si doux et presque réconfortant. meiko. si pur. si beau. il avait fini par l’appeler mei. Lui. Toujours lui. comme une blessure à ton propre cœur à chaque fois que tu l'entends. parfois, elle résonne encore dans ton esprit. si proche. mais pourtant si lointaine. les larmes commencent à couler presque malgré toi. et pis enfin, il y a ayumi. choix de ton père. tu ne sais pas réellement pourquoi. la tradition étant celle de nommer l’enfant né par les prénoms de ses grands-mères. peut être une réminiscence d'un côté japonais paternel que t'as finalement jamais connu. âge, date de naissance : ça fait vingt-et-un ans que tu bouffes la poussière. ça fait vingt-et-un ans que tu subis le monde. t'as jamais rien demandé toi. t'es née comme ça. presque par caprice. ton père te voulait pas. il a foutu le camp dès l'annonce. t'es restée seule avec ta mère. t'as passé vingt-et-un ans à te demander pourquoi. à en vouloir au monde entier. à blâmer le dieu et à séduire satan. pourtant. ça t'as rien apporté. t'es toujours là. avec tes questions brisées entre les mains. et ça continue encore. la roue tourne. et tu peux rien faire pour l'arrêter. t'as beau hurler. personne t'entend. alors ça tourne toujours. malgré toi. origines : contrairement à ce qu'on pense, t'es pas une fille de bien loin. t'as pas la liberté dans le sang. t'es enchaînée à cette ville. comme si elle te collait à la peau. comme si elle te rappelait à chaque fois. ta mère, c'est bien une native aussi d'ici. à croire que les femmes de la famille restent accroché à ici comme un paradoxe. par contre les mecs, ils savent partir. tous. ils partent tous. ton père. il a beau avoir été ici. il est vite reparti au japon. alors t'es bien un produit d'ici, mais pas aussi pure que tu le dis. métier : t'as jamais brillé. pourtant t'en avais des rêves. haute comme trois pommes tu te voyais briller. tu voyais déjà les projecteurs. ceux que tu cherches encore. tu voyais la gloire. et ta passion. elle explosait en toi comme une fleur. pourtant ça n'est jamais arrivée. mauvaise occasion. t'avais beau avoir la voix d'un ange. les rêves, c'est pas fait pour les grands. le monde il a besoin de billets pour tourner. et ça te rapportait rien. t'avais beau te battre comme une lionne. le résultat ne venait jamais. alors t'as du vite changé. grandir. parce que c'est pas en ayant quitté l'école que t'aurais pu briller. non. loin de là. t'as fini par trouver au final. pas tellement glorieux. le genre de boulot qu'on cache le plus longtemps. caissière. t'aurais jamais pensé. pour toi c'était pour les autres. mais t'avais pas le choix. tu penses pourtant encore à tes grands rêves en passant tes articles. mais t'as comme une sorte de cimetière. des souvenirs avortés avant leur naissance. pourtant. tu restes seule le soir avec ta guitare entre les doigts. ta voix d'un ange qui emplit l'air. potassant des bouquins de littérature que t'as empruntés à la bibliothèque de l'université. alors que t'es même pas étudiante. statut : il t'a laissée tomber. comme une vieille chaussette. t'en valais pas la peine sans doute; t'étais trop misérable pour lui. toi. sa compagne d'infortune. t'y croyais à ses belles paroles. à tous ses beaux mots. mais les beaux parleurs, ça ne fait que parler. ça fait rêver. mais t'as toujours ce moment de réalité qui revient. tu te prends alors le bitume en pleine face. un retour de flamme incandescent. alors quoi. t'as gardé sa bague. sa promesse. t'attends désespéramment comme une idiote. comme une rêveuse d'illusion. toi sa comète. rêve : pouvoir être libre tout simplement. t'en as tellement des rêves en vrai. la littérature. ta voix d'ange. ça tourne dans ta tête. ça te rend presque folle. tu te bats. tu te déchaînes. mais la tempête est bien trop forte. tu dois plier. tu dois abandonner. traits de caractères : honnête, renfermée, réaliste, artiste dans l'âme, fragile, mais forte, douce quand elle le souhaite, souriante de temps en temps, brisée...keyword : bleu, comète, marguerite, regrets, rêves, s'échoir, mélancolie, douce musique, sucré, littérature, perdue, cigarette, bague, promesse, mensonge, haine, fragile, bracelet, lys blanc, romance, espoir, chocolat, larmes, illusion, magie, douceur, voix cassée, coeur coincé, poupée déchirée, innocence envolée, nuit noire, rouge passion, éternité, mots, univers, bohème, oreillers, baisers, larmes. |
go back to you
t'as toujours ton bracelet. celui que tu quittes jamais. pour rien. t'es beaucoup trop attachée à ça. parce que c'est la dernière chose que t'as d'elle. c'est d'ailleurs elle qui te l'avait offert. le seul réel cadeau. t'avais sept ans. c'était juste avant qu'elle ne meurt. comme un dernier souvenir. le dernier vestige du temps de paix avant la tempête. toi tu le gardes précieusement. presque contre ton coeur. et tu l'échangerais pour rien au monde. quand t'étais pas bien. t'aurais pu le vendre. contre un peu de billets. mais t'as jamais pu. parce que ton coeur il aurait pas supporté. oh que non. ☆ c'est ta mère qui t'as fait découvrir ce monde. ce monde si chatoyant et pleins de couleurs. t'as sauté la tête la première dedans. t'as pas attendu qu'on t'y pousse. oh que non. c'était comme ancré en toi. faut dire que ta mère, elle en lisait des livres. et pas ceux qu'on pouvait voir partout. ah non. elle t’assommait à coup de victor hugo, baudelaire, ou encore edgar allan poe. oh que oui t'en as bouffé du rudyard kipling ou encore du george orwell. c'était la première substance que t'ingurgitait tous les jours. t'as été élevée à ça. c'est sans doute à cause de ça que t'as toujours eu cette envie proche des lettres. cette touche si particulièrement colorée dans le coeur. ça vient de là. de cette passion spéciale par ta mère. parce que même encore maintenant t'en passes des journées avec un bouquin dans les mains. oh que oui. ☆ ton père. celui que tu connais finalement pas. c'est le dernier inconnu au bataillon. celui que t'as idéalisé toute ton enfance. puis détesté. tu le hais de vous avoir fait ça toi et ta mère. de vous avoir fait subir tout ça. tu le détestes d'avoir été si lâche. tous les mêmes en vérité. ils partent tous la queue entre les jambes au moindre problème. ta mère elle méritait pas ça. elle ne méritait pas un tel homme. c'est sans doute mieux qu'il soit part au final. ouais. mais t'as toujours ce ressentiment en toi. cette haine qui ne s'épuise jamais. t'aurais besoin de lui dire tout ce que tu as sur le coeur. depuis vingt ans. ça en fait sur le coeur. parfois ça vient jusqu'à t'étrangler. mais ça reste stérile. tu ne le reverras jamais. tu le sais. et ça te rend folle. parce qu'au fond t'aurais tellement besoin de vider ton sac. de lui montrer ô combien il a raté. ô combien ça aurait du se passer autrement. oh que oui. parce qu'au fond t'avais juste besoin de lui. t'avais juste besoin qu'il soit là. comme tout père. parce que ta mère elle t'en a raconté des histoires. au début du moins. mais toutes ces histoires tu finissais par les fantasmer. par imaginer un homme si idéal et parfait. que ta chute a été encore plus dure. quand elle a enfin avoué. quand elle l'a quitté. ton coeur s'est durci un peu plus. alors tu préfères clamer que tu le détestes. que c'est qu'un lâche. plutôt que d'admettre qu'il te manque. que t'avais besoin de lui dans ta vie. c'est plus simple. et moins torturant. ☆ la mort de ta mère a été un choc. t'étais pas petite. mais ça t'a foutu un coup au coeur. parce que ta mère c'était ton héroïne. celle que t'aimais du plus profond de ton petit coeur. c'est à partir de là que tout dégringola. que la période noire arriva. c'est cet événement le point d'orgue. t'as longtemps été muette sur ça. comme si tu le renfermes en toi. que tu pleurais en silence. c'est ton truc à toi. de te renfermer sur ta propre douleur pour l'étouffer. mais c'est parfois pire. mais tu t'y tiens. c'est plus forte que toi. pauvre de toi. ☆ t'avais seize ans. personne ne voulait de toi. on adopte des bébés. ceux qu'on les joues roses et les mains potelées. pas une ado si maigre qu'on pourrait facilement la casser. jamais. alors t'as attendu. t'espérais plus. l'espoir c'était pas pour toi. une notion bien trop brisante. vaine. mais ils ont fini par venir. eux. avec leurs sourires. leurs gestes. tu deviens une des leurs. mais pas complètement. parce que tu sentais toujours un truc. quelque chose qui collait pas. tu sais que t'aurais plus bas. sur des fissures qui t'auraient encore plus brisée. mais pas eux. ils étaient gentils. ils te laissaient t'habituer. aux changements. à tout ça. mais t'as jamais pu. comme un décalage dans ton coeur. comme une équation qui se révélait fausse. t'étais pas comme eux. t'en étais sûre. ☆ t'es une droguée. tu fumes comme un pompier. c'est bien la seule constance de ta vie au final. tu peux pas t'en passer. tu devrais pourtant. tu devrais ne pas oublier de te pourrir les poumons. parce que même si tu le vis bien, ça te bouffe de l'intérieur. tous les fumeurs sont bouffés de l'intérieur. t'as beau dire. ça va te tuer à petit feu tout ça. tu répètes que mourir de ça ou d'autre chose, ça revient au même. t'as pas tord. et pis t'en as tellement besoin. t'as besoin de sentir cette sensation de plane. la fumée qui t'apaise. comme un nuage réconfortant. alors t'en manques jamais de t'en griller une. c'est tout. ☆ t'as toujours eu des valeurs. grâce à ta mère. oh que oui. t'as jamais validé la théorie fumeuse des hommes sur les femmes. ça a toujours été une hérésie pour toi. ça t'as d'ailleurs révolté au plus haut point. si certains pensent que l'égalité est atteinte après des siècles. ils se fourrent le doigt dans l'oeil. parce que toi l'égalité tu l'auras quand les femmes seront payées autant que les hommes. quand les femmes pourront être élues présidentes sans que ça fasse les gros titres. quand les femmes pourront prétendre à tous types de choses sans que cela soit si exclusif. parce que c'est ça qui te révolte au final. qu'on s'extasie qu'une femme devienne première ministre. et alors ? on a bien eu des hommes en politique et c'est pas pour autant que les pays s'en portent mieux aujourd'hui. alors toi t'es beaucoup sur tes principes. mais attention. t'es pas une féminazie. non t'es une féministe. et fière de l'être. c'est aussi simple que ça au final. ☆ t'as pas ta langue dans ta poche. du moins tu ne parles pas pour ne rien dire. t'es pas quelqu'un qui parle tous les secondes. à dire tout et n'importe quoi. non. t'écoutes et ensuite tu vois. c'est aussi simple que ça. ou pas. beaucoup n'ont jamais compris ce repli sur toi-même. ça date de quelques temps. sans doute comme une protection contre les autres. et leurs conneries. parce qu'ils en disent beaucoup. bien plus grosses qu'eux généralement. alors depuis cette période-là, tu préfères tout garder pour toi. ou presque. quand tu dis quelque chose. tu le dis. c'est tout. ☆ ça a toujours été tes amies. celle que tu regardais d'en bas. parce que t'as jamais pu détacher tes yeux d'elles. les étoiles. ces astres si lumineux et pleins d'espoir. oh que non. parce que ça représente tout ce que tu aurais voulu être. si brillantes. si lointaines. tu les regardais souvent avec lui. comme une de vos sortes de rituels. après tout quand tu vivais d'amour et d'eau fraîche, vous les admiriez souvent ensemble. comme une sorte de rituel. et pis t'avais le regard perché quand vous unissiez vos corps. elles étaient vos témoins. les premières à savoir pour votre amour. à vous féliciter. ☆ on dit toujours que les âmes les plus torturées sont les plus belles. peut être. on dit aussi que le chant est le reflet de notre âme. sans doute. t'y crois pas tellement à tout ça. pourtant quand tu chantes, t'y mets ton âme. tu y mets tes tripes. tu peux pas faire autrement. parce que la musique fait partie de toi. on a jamais pu te la retirer. pas même dans ta nouvelle famille. quand ils ont essayé de t'éloigner de la guitare. non. t'as tenu bon. parce qu'au fond la musique vit en toi. elle est toi. pourtant tu sembles avoir perdu ta voix. comme ça. sans aucune raison apparente. que tu dis. parce qu'au final. tu l'as perdue quand il est parti. parce qu'il t'a pris une partie de toi même. sans que tu t'en rendes compte. ☆ tu considères la vie comme un énorme bordel. tu vois pas la fameuse ligne de temps. ou le cercle infernal. toi tu vois seulement le fléau. la tornade. et tout ce qui reste après. tu vois rien de ranger. ça ne l'a jamais été dans ta vie. ça a toujours été les montagnes russes. l'explosion pis l'implosion. jamais de répit. t'en aurais probablement quand tu seras morte. et encore. ☆ t'as jamais cru à l'amour éternel. et à toutes ces conneries. pourtant t'y croyais avec lui. tu l'avais rencontré par hasard. grâce à eux. pendant une période pas tellement belle. la mort de ta mère. mais il avait été là pour toi. et t'étais tombée amoureuse bêtement. ça ne te ressemblait pas. pourtant avec lui c'était si simple. trop simple. il t'avait promis monts et merveilles. il t'avait ensorcelé de belles paroles. il t'avait promis le monde. toi t'y croyais. pour une fois t'y croyais. comme une idiote. il t'appelait sa comète. celle qui apparut comme un flash dans sa vie. comme un boulet de canon pour disparaître aussitôt. seulement c'est lui qui est parti. tu sais pas pourquoi. tu sauras probablement jamais. mais ça t'a fait mal. tu le détestes pour ça. au final c'est tous les mêmes. ton père. lui. que des lâches. ☆ tu comprends pas. tu veux pas comprendre. parce que t'as tellement envie que ça sorte. les mots. les cris. la douleur. mais ça reste bloqué. pour une raison que t'ignores. ou pas complètement. tu veux pas la voir. parce que ça ferait trop mal. t'es la seule qui portes tout sur ses épaules. véritable atlas des temps modernes. mais ça commence à faire lourd. elle a droit de savoir aussi. elle a le droit de te connaître. toi aussi. c'est ce que tu veux. mais tu comprends pas. t'étais le secret. celle qu'a toujours su ou presque. celle qui a toujours eu la vie en bordel. mais pas elle. elle, c'est la poupée dorée. celle qu'on a pas le droit de briser. mais c'est plus fort que toi. tu comprends pas. tu vas être la bombe. celle qui dégoupille la grenade. celle qui va faire imploser sa vie. mais t'y penses pas. tu veux être égoïste pour une fois. être celle qui fait bouger les choses. être celle qui est actrice de sa vie. pour une fois.
what about us les draps bougèrent légèrement quand tu finis par ouvrir les yeux. enfin, pas de suite. les rayons du soleil étaient bien trop puissants à cette heure du matin. quelle heure était-il déjà ? t'en sais rien. mais l'astre solaire était déjà levé depuis quelques heures à présent, c'était certain. presque instinctivement, ta main chercha quelque chose. lui. sa présence. sa chaleur. ce que tu finis par trouver avec un sourire. tu laisses doucement ta main courir contre sa peau. des cercles. des lignes. tout y passait. t'aimais tellement ses moments. où ils n'avaient tout simplement pas besoin de parler. là où les mots étaient de trop. vos corps vous suffisaient amplement. vous aviez toujours marché comme ça. du plus longtemps que tu t'en souvenais. tu te loves alors un peu plus contre lui, posant ta main sur son torse, continuant ton petit manège. un sourire aux lèvres. tu finis par lever les yeux vers lui. comme t'as deviné, il était réveillé. il était toujours réveillé. a croire qu'il ne dormait jamais. il t'observait souvent dormir. cela te faisait rougir très souvent. mais jamais tu ne pourrais avouer que tu trouvais ça touchant. tes yeux finirent par rencontrer les siens. connexion de suite établie. « ça fait combien de temps que tu es réveillé ? » des moments comme ça, il fallait les chérir. les protéger presque. t'en étais consciente et t'en profitais autant que tu pouvais. grappillant ces maigres heures ensemble. cela a toujours été comme ça entre vous. tu devrais le savoir. cela lui convenait à vrai dire. rythmer entre ses permissions et tes propres horaires infernaux. cela aurait pu en rendre fou plus d'un. pas vous. pouvoir partager seulement un peu d'amour de temps en temps, pouvoir compter sur l'autre à temps partiel étaient des choses qui semblaient presque naturel. une suite logique des choses. « à peine quelques minutes. » menteur. tu le savais et tu le voyais dans ses yeux rieurs. mais qu'importe. ce n'était pas si grave. c'était une sorte de petit jeu à vous. il savait ô combien tes joues pouvaient devenir rouges. une véritable plaie que même après des années d'efforts, t'avais jamais su rayer. une tare. « tu veux manger quelque chose ? » tu secoues automatiquement la tête. le matin t'avait toujours donné la nausée. encore plus le petit déjeuner. tu n'avais jamais pris le temps de te mettre à table pour partager tartines et café. ce n'était pas ton truc. cela n'a jamais été au final. alors ça n'allait pas changer. t'avais pas envie d'avoir l'estomac bien trop mal jusque ce midi. hors de question. pourtant, il ne fut pas de son avis. « il faut que tu manges un peu. » tu roules doucement les yeux au ciel. ce qu'il pouvait être trop agaçant parfois. tu mangerais pas, c'était décidé. de toute façon, t'étais trop bien dans ses bras pour vouloir bouger jusque dans la cuisine. hors de question. enfin, c'était ce que t'avais décidé toi. pas lui. parce qu'il commença à se détacher de toi pour surement rapporter quelques trucs. tu le retins alors de tes petites mains. « non, reste encore un peu... » il finit par céder. à quoi bon. t'aurais été bien trop têtue et il le savait. il finit par reprendre la même position et tu te lovas encore dans ses bras, mettant les tiens autour de lui. t'étais si bien avec lui. si aucun de vous ne semblait s'engager réellement, il était clair que vous teniez l'un à l'autre et que vous chérissiez les moments passés à deux. après tout, t'étais si bien. enfin calme, reposée presque. contre toute attente, il t'adoucissait. rendait ton cœur plus tranquille. il faut dire que tu pouvais voir le monde dans ses yeux. et pas forcément au sens figuré. bien au contraire. tu restais pendue à ses lèvres pendant des heures quand il te faisait le récit de ses aventures à travers le globe. il te parlait alors de ce qu'il avait fait, des gens qu'il avait rencontrés. il te fascinait totalement et tu te perdais vite dans ses descriptions parfois si exotiques. dans sa bouche, tout prenait une autre dimension. sans doute parce que c'était lui. « je pourrais rester des heures comme ça. » finis-tu par dire alors. c'est vrai. t'adorais ces moments où vous ne laissiez que vos corps parler. c'était des moments si rares et si privilégiés. après tout, il n'avait pas droit à des millions de permissions. il fallait qu'elle en profite. peut-être que la semaine prochaine, il s'envolerait pour acapulco ou peut-être pour le yémen. qui sait réellement ? t'en étais consciente. tu pouvais pas t'empêcher de te ronger les sangs quand tu le savais loin. c'était plus fort que toi. « en fait, je pourrais rester ainsi dans tes bras toute la vie. et toutes les vies qui suivront. » à vrai dire, vous preniez l'amour de l'autre quand il passait. vous n'en redemandiez pas. vous vous laissiez vivre tout simplement. t'étais toujours heureuse de le découvrir au pas de ta porte même en plein milieu de la nuit alors qu'il venait à peine d'atterrir pour une permission de quelques jours ou semaines. c'était comme ça que vous marchiez. vous laissiez passer le temps, ne pensiez pas à demain. vous vous apportiez simplement l'amour dont vous aviez parfois besoin. une sorte de solitude passée à deux en quelques sortes. « je t'aime. » ca ce n’était pas prévu. c'était sorti tout seul. sans que tu puisses retenir les mots. merde. mais tu le pensais. t'avais fini par attendre ces nuits de retrouvailles avec impatience. presque avec désespoir. t'avais fini par l'avoir dans la peau. t'avais beau faire l'oiseau libre, t'avais fini par trouver sa branche à laquelle te raccrocher. tu ne pouvais pas faire autrement. ton cœur avait fini par tomber presque malgré toi. alors t'aurais pu débiter toutes sortes d'idioties. t'aurais pu ravaler ses paroles. parce que tu savais que ça pourrait tout gâcher. tout foutre en l'air. mais il ne t'en donna pas le temps. tu le sentis se raidir à tes paroles. pire encore, tu le sentis doucement se détacher de toi. non. « mais pas moi. » les mots étaient tranchants. tombant comme une guillotine sur leur relation. idiote. tu le regardais presque incrédule. t'avais du mal comprendre. t'avais dû prendre des mots pour d'autres. ce n'était pas possible. tu retournais les mots dans ta tête. rien ne collait. rien ne correspondait. tout partait. « quoi... » tu ne comprenais vraiment pas. sa réaction. t'aurais pensé à tout. sauf à ça. il n'a même pas tenté de faire passer la pilule. il était catégorique. tu ne le voyais que trop bien dans son regard. saleté de regard. ses anciennes paroles. ses promesses. rien. envolées. toi, la bouche ouverte, tu savais même pas quoi ajouter de plus à ça. peut-être parce que justement il n'y avait plus rien à rajouter à cela. « écoute... » il commença. mais tu finis par détourner les yeux. par les planter dans les draps immaculés qui vous entouraient. tu ne voulais pas l'écouter. tu voulais pas connaître les maigres explications. ce n’est pas toi, c'est moi. tu ne le connaissais par cœur ce refrain. tu ne voulais pas l'entendre. pas de sa bouche à lui. son cœur souffrait bien trop déjà, t'avais pas besoin de ça en plus. « dégage. » tu le coupais. c'était au-dessus de tes forces. t'avais que ça en stock. c'était déjà pas mal. c'était à son tour de te regarder avec incrédulité. tu ne le laissais même pas s'expliquer. à quoi bon hein ? tu limitais les dégâts. c'était déjà pas mal. parce que tu les sentais. la douleur. ton cœur. celui-là même qui s'étranglait. qui te hurlait d'autres mots. dis-moi que c'est une mauvaise blague. mais les paroles résonnaient dans le silence. « dégage de chez moi ! je ne veux plus te revoir ! » tu finis par attraper la première chose que t'avais sous la main : à savoir un oreiller. tu finis par lui balancer à la figure. tu ne voulais plus le revoir, ne plus souffrir. peut-être la soirée de trop finalement. il sembla comprendre assez vite. avec une meiko dans un tel état de furie, il ne valait mieux pas discuter. il rassembla ses affaires. sa chemise. son jean. et son sac. tu te levas à son tour, s'enveloppant dans tes draps. t'avais pas la force de faire autre chose. tout s'est passé si vite. tu ne lui adresses pas même un regard quand il franchit la porte. retourne-toi, reste, je t'en prie. utopie ratée. satané cœur. idiote. la porte se ferma dans un bruit sec alors que tu t’effondrais à même le sol. seule, auréolée de ton drap que tu portais encore. c'est là que tu te rendis compte que les larmes coulaient à flots sur tes joues à présent. depuis quand tu pleurais à présent hein ? de rage, tu tentas de les essuyer. quelle conne, elle faisait tiens.
haunted by the ghost of you tu ne sais pas tellement comment c'est arrivé. oh que non. c'est juste ... arrivé. sans doute une rencontre de trop. la soirée qui change tout. mais voilà. ta peau frisonne à chacun de ses frôlements. elle vibrerait presque. c'est presque irréel. toi. lui. c'est comme dans un songe onirique. une possibilité non envisagée. tu l'aurais pas cru. pas même quand tu l'as vu ce soir au bar. t'as cru d'abord à un mirage. une très mauvaise blague. et pis les heures ont passé. les langues se sont déliées. et en voyant son regard t'as compris. tu l'as déjà vu ce regard. oui tu ne le connais que trop bien ce regard. celui qui te fait vibrer l'âme fortessimo. alors t'as fini par le laisser plus que de raison. plus que d'habitude. c'est sans doute parti de là. peut-être qu'inconsciemment t'accepter bien plus. qui sait ? toi-même tu sais pas trop. tu réfléchis pas trop. tu peux pas. parce que tu te raccroches à plus rien. t'es une roue libre. son regard se pose sur toi. il est différent. plus déterminé. plus... désireux ? sans doute. et c'est là. ses lèvres capturent les tiennes. sans crier gare. sans te demander. tu ne le repousses pas. t'as déjà pas repoussé sa main sur ton bras. elle te frôlait. te procure des frissons. mais son baiser... c'est autre chose. une explosion. un feu d'artifice. les séries télévisées ne mentent pas. parfois embrasser quelqu'un peut être comparé à un feu de joie. seulement là le brasier prend feu. il te brûlerait presque la peau. tout ce désir. tu le visualises très bien dans ta tête. tellement que tu t'y abandonnes. tu fermes les yeux. non. tu ne sais vraiment pas à quel moment ça a dérapé. sans doute quand t'as entamé ton énième verre. ou quand il a fini par te parler de ce qu'il faisait. au fond tu savais que ça finirait comme ça. tu le pensais. l'amie qui t'a amenée ici aussi le pensait. mais lui aussi. il a l'air autant chanceux que toi. ça te fait presque sourire contre ses lèvres. c'était presque votre salut cette soirée. ou plutôt ton salut. t'avais tellement besoin de ça. à cause de ton travail. de ta vie. de ton coeur. mais simplement de pouvoir lâcher prise. de ne penser à rien le temps d'une soirée. le temps de quelques heures dans ses bras. ou plutôt non. dans des bras. n'importe lesquels. les premiers qui viendront. ça fera l'affaire. tu sais que c'est pas forcément à cause de lui. tu te rappelles à peine de son prénom. sans doute l'adrénaline. mais c'est aussi bien. ça te servira sans doute pas. c'est ce qu'on t'a dit. parce t'es pas comme ça d'habitude. c'est nouveau. tu te laisses enfin aller. t'oublies la petite fille. enfin. tu la laisses au placard pour quelques heures. tu le méritais selon tes potes. t'en sais rien finalement. mais ça fait tellement du bien. ce sentiment si fort que te procurent ses baisers. tu le savais. la tête dans les nuages te le témoignait assez. mais tu t'en fiches. ce soir, cela allait être ton soir. ta rédemption. tes pensées étaient bien trop embrouillées pour réellement penser. tu finis par mettre tes mains sur son visage. tu te laisses aller à cette étreinte. ce plus lui. l'inconnu. ou toi. meiko. douce meiko. c'est juste vos deux désirs réunis. votre besoin respectif d'affection. est-ce réellement de l'amour ? c'est à se demander. peut-être que vous vous comblez. peut-être que vous recherchez simplement de l'amour. lui l'étrange phénomène, et toi l'enfant mal-aimée. ça ferait un bon titre de bouquin tiens. mais tellement cliché. mais tu te contentes de ça. alors quoi ? et demain ? t'y penses pas. c'est trop loin ça. à des années lumières. tu vis l'instant présent. c'est déjà ça. tu peines à respirer contre ses lèvres. mais t'as pas envie de te détacher. parce que ça sera sans doute pour toujours. t'aimerais sentir ça à chaque seconde de ta vie. alors tu t'accroches à son tee shirt. sa chemise. tu sais même plus. ses mains se baladent. sur ton corps. sur tes cheveux. ta respiration se bloque presque. ton coeur s'arrête. quelques secondes. avant de repartir. beaucoup trop vite. t'as l'impression qu'il sort de ta poitrine. ça te ferait presque mal de le sentir battre si fort. mais ça te rend si vivante. tes lèvres sont encore contre les siennes. elles se frôlent. « j'ai même l'impression que... » mais tu ne finis pas. ses lèvres capturent à nouveau les tiennes. tu n'es plus toi. ou du moins t'arrives plus à l'être. sans doute la passion de l'instant. le désir presque éphémère. c'est là où vous avez dérapé. vous avez dérogé à vos propres rôles. mais tu t'en fiches. tu verras ça demain. ou jamais. c'est bien aussi jamais. tu laisses t'entraîner. oui. tu sens ses mains sur ton corps. elles glissent sur tes vêtements. sur ta peau. les frissons te parcourent. pire encore tu pourrais presque te donner là maintenant. tout de suite. parce que ce soir vous allez franchir la barre de l'interdit. le paroxysme de votre non-relation. cela aurait pu te donner le vertige. mais tu as accueilli ce moment avec assurance. l'adrénaline sans doute. ou c'est peut-être lui. sans doute des sentiments refoulés inconscients. tu ne penses pas. mais c'est probable. tout peut arriver avec vous de toute façon. alors tu laisses aller. juste pour une soirée. juste pour un moment. et ça te fait tellement du bien. de ne pas penser. à demain. aux conséquences. à tout en fait. tu lâches prise. tu tombes. mais tu t'en fiches.
non.
non. non.
un éclair te surprend. presque un état de conscience bien soudain. il t'a presque donné mal à la tête. et tout te revient. comme une baffe en plein visage. alors tu tentes de te débattre. de briser ce moment qui avait l'air quelques secondes auparavant à peine magique. parce que c'est pas ça. tu veux pas. c'est pas toi. non. tu ne pouvait pas faire ça. pas comme ça. c'était pas toi. qu'est-ce qu'il t'a pris. idiote. ce que tu te répétais inlassablement. en vain. à présent que l'adrénaline était retombée. t'avais peur. ou pire. les souvenirs revenaient. la douleur aussi. en plein coeur. alors tes mains se débattent. ton visage se déforme par hystérie. il avait le don de te rendre dingue. d'envoyer en l'air tout ce en quoi tu croyais. encore lui. toujours lui. tu revenais toujours à lui. ce lui qui était déjà parti. ce lui qui t'as mises en miette sans le savoir. celui qui.... tu devais pas. tu t'étais faite une promesse. t'avais toujours dit plus jamais. pas lui. t'avais pas le droit. tu valais mieux que ça. tu valais pas d'être relégué à un autre rôle. comme oubliée sur le bord de la route. c'était trop simple. pourtant t'y arrivais pas. tu pensais presque à lui ce soir avec un autre. ses baisers étaient presque les siens contre tes lèvres. c'était presque ses mains à lui qui caressaient ton corps. mais fallait que t'arrêtes. que tu redescendes sur terre. quitte à te prendre le bitume. quelques secondes à peine tu sens ses mains se détacher de ton corps. plus de frissons. plus de magie. il semble désarçonné. presque surpris. il avait cru. toi tu te recroquevilles toute seule. réflexe primal. femme redevenue enfant. t'aurais pas du. idiote. ce soir t'avais voulu passer à autre chose. lui montrer que t'étais pas qu'à lui. que ton coeur il avait tourné la page. tu voulais te le prouver à toit-même. pourtant t'as beau vouloir. ça passe pas. t'as fini par jeter le livre tout entier. ton coeur avec. tu sais pas pourquoi t'as laissé faire. sans doute parce que ton coeur en redemandait. parce que t'en avais besoin au fond. de l'amour. certes. mais t'avais besoin de lui. pas d'un étranger. t'aurais du t'en douter. idiote. alors t'attends. en foetus comme une enfant. les cheveux autour de toi comme une auréole. lui il s'assoit sur le bord du lit. toi avec juste un « vas-t-en... » t'es calme. c'est tout ce que tu dis. c'est clair. tu veux plus de lui là. il sert plus à rien. il ne sera pas ton amnésie ce soir. « quoi ? » il a pas l'air de comprendre. toi tu soupires. les larmes aux yeux. t'as pas besoin de discuter. de t'expliquer. tu veux juste qu'il parte. tu le regardes même pas. « j'ai dit : vas-t-en ! » t'as pas pu être plus claire en vrai. tant pis pour lui. ça aurait pu te servir. il aurait pu être ton rédempteur. ton anesthésie sentimentale. il aurait pu aussi t'être utile. c'est ce qu'on dit. coucher, c'est parfois oublier. pas ce soir. tu peux pas. « vas te faire fo*tre... » tu sais. tu sais qu'il le pense. mais t'en as rien à faire au final. c'est le cadet de tes soucis. tu voulais juste oublier ce soir. t'aurais juste voulu pour une fois. faire taire la douleur. mais elle est encore là. bien nichée en ton sein droit. tu pourrais presque l'arracher à main nue. tu voudrais d'ailleurs; mais c'est pas possible. tu t'en rends compte maintenant. t'as beau faire n'importe quoi. tu l'as toujours dans la peau. t'as beau t'envoyer en l'air avec le premier venu. t'as beau embrasser d'autres lèvres. il sera toujours là à te scruter. à prendre en otage ton coeur. presque malgré toi. quelle merde. derrière l'écran
pseudo/prénom : diane tout simplement. ni plus ni moins. âge : bientôt vingt-et-un ans dans moins d'un mois. t'es où ? : assis sur ma chaise devant mon ordinateur pourquoi ? un mot ? : voir la trouvaille des nom des div class est excellent. ton légume préféré : assez dur, mais je dirais les brocolis ou les épinards. le smiley qui te fait vibrer : crédits images : jamiedits et mittwoch. |
| | | sourire d'un enfant
eli albright ARRIVÉE : 22/08/2018 OÙ ES-TU ? : JAMAIS SEUL, DANS LES FLAMMES, DANS LES VAGUES, PIEDS DANS LE SABLE. MESSAGES : 135
| Sujet: Re: amanturière. (meiko) Jeu 23 Aoû - 10:32 | |
| c'est quand même beaucoup trop vide ici mais ça en promet de la douceur bienvenue, ici bientôt, ce sera chez toi |
| | | bambino
Fiore Constantino ARRIVÉE : 21/08/2018 OÙ ES-TU ? : la tête sous l'eau (ou les pieds dedans, à défaut de). MESSAGES : 80 POUR S'OCCUPER : il fabrique des choses, des bijoux, des babioles, vend (et vole) des fruits, fait des châteaux de sable, la planche dans les vagues.
| | | | moussaka fever
Thalassa Gavras ÂGE : 30 ARRIVÉE : 20/08/2018 MESSAGES : 145 POUR S'OCCUPER : son dax comme compagnon de route, elle sillonne l'île pour livrer des surprises aux habitants et aux touristes. artiste incomprise, elle passe le reste de son temps à faire des expériences graphiques.
| | | | pour t’envoler
Claude M. Leighton ARRIVÉE : 18/08/2018 MESSAGES : 176 POUR S'OCCUPER : T'es ici pour gérer l'ouverture d'un nouvel hôtel. De luxe. Ton père étant PDG d'une firme multinationale. Mais toi, tu voudrais juste être artiste peintre.
| | | | ☾idées folles☽
gaïa aulain ARRIVÉE : 19/08/2018 MESSAGES : 33
| | | | dans mon sous-marin
marin raison ARRIVÉE : 20/08/2018 OÙ ES-TU ? : À LA PLAGE OU CONTRE TOI MESSAGES : 92 POUR S'OCCUPER : DES FILETS QUI BLESSENT
| Sujet: Re: amanturière. (meiko) Jeu 23 Aoû - 15:19 | |
| WOHAOU L'HISTOIRE INFINITE SCROLL MAIS D'UNE BEAUTÉ COMME TON PERSO jtm déjà bienvenue sur le forum !!!! |
| | | abeille en devenir
phèdre aulain ARRIVÉE : 27/07/2018 OÙ ES-TU ? : entre osier et saule pleureur MESSAGES : 279 POUR S'OCCUPER : te rebouter avec tes os tous cassés, endormir tes maux, rebuter tes plaies dans tes rêves les plus catastrophiques
| Sujet: Re: amanturière. (meiko) Jeu 23 Aoû - 16:41 | |
| de la lecture !!!!! en tous cas, le personnage est merveilleusement beau bienvenue parmi nous !!! |
| | | broken wings
Meiko Sato ARRIVÉE : 23/08/2018 MESSAGES : 3 POUR S'OCCUPER : caissière. tapant sur son clavier comme elle taperait sur un piano. désabusée.
| Sujet: Re: amanturière. (meiko) Jeu 23 Aoû - 18:35 | |
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| | | abeille en devenir
phèdre aulain ARRIVÉE : 27/07/2018 OÙ ES-TU ? : entre osier et saule pleureur MESSAGES : 279 POUR S'OCCUPER : te rebouter avec tes os tous cassés, endormir tes maux, rebuter tes plaies dans tes rêves les plus catastrophiques
| Sujet: Re: amanturière. (meiko) Ven 24 Aoû - 17:07 | |
| j'avais lu une grande partie et genre tjrs aussi touchée par cette histoire triste j'espère que tu te plairas à fond parmi nous meiko elle a besoin de se plaira par ici par tous ses regrets je te mets dans les standings small
validation
Tu a été classé(e) dans le groupe standing small
Félicitations, tu es validé(e)! Nous espérons que tu te plairas sur VV. Pour bien commencer l'aventure, nous te référons à la section des liens ainsi qu'à celle des demandes. Si ce n'était pas déjà fait, tu peux aller lire les annexes du forum afin de te mettre dans le bain. Et maintenant que tu es fin prêt(e) pour l'aventure, nous te donnons rendez-vous dans le flood!
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| | | | Sujet: Re: amanturière. (meiko) | |
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